Peter Doig au mam de la ville de Paris
Cette fois-ci, un peintre britannique, Peter
Doig au musée d’art moderne de la ville de Paris.
On trouve tout ce qu’on veut sur le net à propos de cet artiste. Il est encore jeune et jouit d’une reconnaissance internationale.
Le musée d’art moderne expose une centaine d’œuvres. Des tableaux monumentaux peints à l’huile et des petits formats préparatoires aux techniques diverses.
J’aime et j’aimerai toujours ce lieu à première vue austère mais qui met si bien en valeur le travail des artistes. L’expo est aérée et agréable à parcourir. Il y avait peu de monde et j’ai confortablement passé la visite.
Le style de Doig est à la fois figuratif et abstrait. Ces tableaux contiennent des éléments du réel mais traités de telle façon qu’ils en deviennent abstraits.
Il ne peint pas dehors mais dans son atelier à l’aide de photos, photomontages, images transformées, pochettes de disques, vidéos... C’est sa base de travail. Mais il ne fait pas de copie. Son travail évolue très différemment de sa base de départ.
Sa manière de peindre peut être très en pâte ou très diluée. Ça dépend de l’effet voulu. Il laisse les coulures et on a souvent l’impression qu’il a carrément jeté directement l’essence sur la toile pour obtenir l’effet recherché. On peut y voir des aplats, des mouchetures, des effets de bruine.
On trouve de tout dans ses toiles. La nature est très présente et « emprisonne » par moment les constructions humaines. L’humain est présent aussi mais il semble qu’il n’a d’autre intérêt que d’être un élément de la composition, souvent insignifiant. Quand il peint des personnages, ils sont méconnaissables, cachée par leurs vêtements, déguisés, simples silhouettes ou minuscules.
Sa palette est très variée; c’est un monsieur qui aime la couleur et qui s’en sert.
Il ne peint pas dehors mais dans son atelier à l’aide de photos, photomontages, images transformées, pochettes de disques, vidéos... C’est sa base de travail. Mais il ne fait pas de copie. Son travail évolue très différemment de sa base de départ.
Sa manière de peindre peut être très en pâte ou très diluée. Ça dépend de l’effet voulu. Il laisse les coulures et on a souvent l’impression qu’il a carrément jeté directement l’essence sur la toile pour obtenir l’effet recherché. On peut y voir des aplats, des mouchetures, des effets de bruine.
On trouve de tout dans ses toiles. La nature est très présente et « emprisonne » par moment les constructions humaines. L’humain est présent aussi mais il semble qu’il n’a d’autre intérêt que d’être un élément de la composition, souvent insignifiant. Quand il peint des personnages, ils sont méconnaissables, cachée par leurs vêtements, déguisés, simples silhouettes ou minuscules.
Sa palette est très variée; c’est un monsieur qui aime la couleur et qui s’en sert.
J’ai aimé son style particulier qui rend son travail si singulier. Un critique l’a qualifié d’usurpateur. Je ne vois pas en quoi. S’il a eu des influences ( on en a tous et franchement, je ne les avais pas remarqué ) il les a rudement bien digéré et en a tiré sa propre individualité. C’est le plus important.
En complément de mon bla bla, un lien d’un surnommé Lunettes Rouges qui en parle encore mieux que moi, et sa ribambelle de commentaires.
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