Le siècle de Watteau I
Je vais finir par tous les connaître, les musées parisiens. Et aussi leurs habitudes…
Ils sont en général tous beaux, anciens, bien meublés, bien décorés, avec de beaux jardins et possèdent chacun une collection d’œuvres d’art à faire pâlir d’envie. Et, en plus, aucun ne ressemble à l’autre. Ils ont tous une personnalité particulière.
Le petit musée Cognacq-Jay n’est pas en reste puisqu’il a une mascotte à quatre pattes et oreilles pointues qui, si les surveillants n’y prennent garde, se faufile dans les pièces du musée pour faire une visite gratuite. Ils prennent grand soin à ne pas lui faire de mal; un chat amateur d’art, c’est pas si courant !!!
Ma visite commença donc par quelques dessins de Watteau et je m’empressait de sortir mon carnet. Je dois dire que ça ne va jamais sans difficultés; pas facile d’être à la hauteur de ces petits chefs - d’œuvres. Mais vous jugerez par vous - même.
J’en étais à mon quatrième croquis, lorsque, ô surprise, à 12h45 je fus mise gentiment dehors pour…la pause déjeuner. Avec l’autorisation de revenir avec le même ticket, c’est plutôt bien passé. Et, ma foi, je suis de bonne constitution. Comme il faisait beau et que le quartier du Marais possède de jolis petits squares où l’on peut venir déguster son fallafel acheté dans une gargotte du coin, j’ai patienté jusqu’à la réouverture .
Bon, heureusement qu’au Grand Palais, c’est jusqu’à vingt heures.
Ne peuvent-ils organiser des équipes tournantes à Cognacq-jay ? Il y a des visiteurs qui aiment venir à ces heures calmes où il y a peu de monde pour voir en toute tranquillité. Ils pourraient y réfléchir…
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